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 Existence de jeunes contemporains.

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Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 21/03/2012

Existence de jeunes  contemporains. Empty
MessageSujet: Existence de jeunes contemporains.   Existence de jeunes  contemporains. EmptyMer 21 Mar - 9:18

Résumé des idées (hypothèses abordées) tout ceci n'est qu'hypothèse et obsvervation d'experiences.
• Un esprit sain dans un corps sain. L’âme et le corps.
• Une facette de l’intelligence ou la maitrise de la raison. Comment expliquer que certains adolescents parviennent à adopter majoritairement une existence équilibrée alors que d’autres non ?
• Pourquoi pêche-t-on ? Qu’est que le mal, D’où vient-il ? le bien ? Peut-on parlait de mal ou de bien ? Pourquoi des cycles en alternance du bien et du mal ? Pourquoi passe t-on spontanément du bien au mal ? Tempête…
• L’équilibre et le déséquilibre, choses fondamentales de l’existence humaine ?
• L’homme peut-il s’accomplir seulement par sa force de motivation ?
Pourquoi du jour au lendemain peut-on passer d’une existence assez équilibrée à une existence déséquilibrée ?

Existence de jeunes contemporains.

Souvent nous sommes en équilibre sur une corde vrillée ; tentant désespérément d’avancer sans regarder ni derrière, ni sur le côté pour ne pas tomber et conserver l’équilibre. Pendant des jours on parvient à flotter tranquillement avec ferveur, sans se laisser aspirer par la peur, l’appréhension ou la satisfaction immédiate. Oui, on accomplit plusieurs kilomètres avec un rythme régulier, une bonne respiration, des pauses et des efforts nécessaires. A tel point que l’expérience, porte ses fruits et on découvre du plaisir et l’acquisition de nouvelles capacités. On PERSEVERE , on persévère et un jour à n’y rien comprendre : tempête, on bascule et tombe plus bas que terre. La corde si droite, si parfaite au final se retrouve être une corde pentue et sinueuse, voir même un cercle vicieux. Folie, violence, mensonge, excès… Les ailes blanches qui nous ont porté jusque là s’avèrent n’être par cette déroute, par ce mauvais pas, que des cornes noires qui nous rongent et qui grandissent, poussant inlassablement au non retour comme le nez de Pinocchio. C’est impressionnant la facilité, la rapidité avec laquelle on peut devenir ou redevenir mauvais comparé à la difficulté qu’il faut affronter pour trouver enfin l’équilibre. It’s a self struggle ! C’est un combat en permanence avec soit même. Je ne sais pas si pour les autres, c’est comme çà : une balance, une corde… Sont-ils toujours obliger de se raisonner ou est ce naturel ou encore un reflexe comme se laver les dents ?

Je dis combat et tout ce que je dis là raisonne négativement, c’est bien vrai. Mais en fait, c’est bien plus étendu, bien plus vaste ; cela relève de la Notion de Travail. Ce mot lâché brutalement du haut d’un immeuble dans nos oreilles évoque pour la plupart du temps, quelque chose de difficile, des sacrifices, du temps consacré. Oui ce mot bruyant grince jusqu’à nos tympans et vient perturber la passivité car il sort du lit notre conscience et l’appel ainsi à l’ordre et au garde à vous. Mais en fait le Travail est nécessaire et une source formidable d’équilibre et de sérénité.

Il nous élève ou nous aide tout simplement à ne pas nous endormir, à ne pas stagner comme une flaque sur la durée. Oui il est celui qui jettera les dés et tirera les ficelles sur un espace bien plus large que le présent. C’est dommage qu’ il est une image si répulsive car je crois que c’est un des meilleures remèdes ou carburant de l’existence de l’homme.

Il réunit les hommes lorsqu’ils se différencient. En effet, le Travail unit les hommes sur un plan social d’homme actif. Le vendeur de samoussas a autant de mérite que celui qui soigne et qui panse. Ils se lèvent tous deux « chaque jour que Dieu fait pour accomplir leurs activités. Et aucuns des deux ne vaut mieux que l’autre par son travail. C’est encore là une ineptie capitale et traditionnelle de notre société qui est de croire que la valeur d’un homme se détermine par la hauteur de sa profession ; c'est-à-dire de son niveau d’étude ou de la popularité du métier. En effet un pdg qui ne revient pas chez lui avec la conscience d’avoir travaillé car il a siroté des cocktails en jetant à droite et à gauches des recommandations n’a pas de mérite comparé au boulanger qui se sera levé à 5H00 pour ouvrir la boutique et concevoir une centaine de baguettes à la chaine pour répondre au satisfactions de ses clients.

Il y a donc une union sur un plan social mais aussi sur un plan collectif et d’entraide. En Effet c’est tout là le principe d’une collectivité, un groupe de personne uni pour arriver à la réalisation d’objectifs communs et personnels. Les hommes parviennent à travailler ensemble car il anticipent par la pensée et leur conscience et savent que la satisfaction repose après l’effort qui est universel.

Néanmoins je m’éloigne. Voulant rapprocher Travaille et combat je veux mettre en évidence la volonté qui avec l’effort fait que c’est en forgeant que l’on devient forgeron.

ET la tempête nous amnésie de toutes ces notions ou nous bouche les oreilles.

Oui il y a encore bien là une illusion quand on bascule à gauche ou que l’on se penche dans le vide au lieu de poursuivre le long de notre corde.Ll’ on croit trouver dans l’absence totale, provisoire, temporaire de travail une satisfaction méritée ou une pause nécessaire ou tout simplement l’exécution d’un désir. Comme si passer du 1ER au 7eme étage, aller nous permettre de changer d’air et recharger nos batteries. C’est comme passer d’emblé de la soupe de poisson à la glace à la fraise Ou rouler à 240 kilomètres heures et soudainement couper les moteurs. Il faut que çà soit progressif comme en plongée, il y a des paliers. L e passage d’un extrême à l’autre ne rime à rien et c’est çà qui abat tout et ruine le château de carte si bien équilibré. Le passage du brulant au glacé provoque d’ailleurs une hydrocution.

Oui c’est bien çà le problème nous faisons une réelle confusion entre ce qui devrait être pour nous et ce qui est effectivement ; entre la récompense et la fainéantise. C’est ainsi que l’abandon spontané pour la satisfaction immédiate s’avère en fait brutal et néfaste car il pousse à la violence, à l’excès et par conséquent au malheur. Par exemple, lorsque l’on préfère manger e au lieu de s’efforcer à résoudre le problème de maths déjà entrepris sous prétexte que çà fera une pause ; nous ne faisons qu’ échapper à la difficulté de l’exercice. Sur le moment on est satisfait car c’est bon et on oublie notre devoir en mangeant mais en fait on a fuit et on perd notre temps en reportant la confrontation. Alors que si nous concentrions tout l’enthousiasme pour manger et fuir sur le problème de maths et que l’on mangeait ensuite en guise de récompense, on aurait accompli notre travail et ce raisonnablement et peut-être même plus facilement.

Conclusion :
Je parlerais même d’intelligence car il s’agit là de représentations positives et négatives. Celui qui sait faire abstraction de la négativité ou positivité d’une représentation ou même en privilégiant seulement le positif, l’avantage plutôt que l’inconvénient ; concentrera alors l’effort et parviendra par effet à conserver l’équilibre. Il s’agit de la capacité à différer.

Ainsi pour ce qui concerne la satisfaction, celle-ci devrait donc être diversifiée, régulière et non une pause extrême. Et l’homme ne devrait donc jamais s’arrêter de travailler mais par période d’over, diminuer l’effort, le sublimer. C’est comme pour une overdose d’un médicament, si l’insuline est absolument nécessaire au diabétique pour vivre sur la durée, on ne peut supprimer radicalement le traitement. On peut peut-être d’abord diminuer les doses ou le remplacer temporairement par un autre, le temps que l’organisme reprenne son métabolisme optimal.

Sur une espace large de durée, la motivation ne peut donc tenir éternellement l’homme en équilibre sur le droit chemin bien que celui-ci soit très motivé et qu’il y a des lors d’autres facteurs comme la peur, le manque de confiance en soi, l’appréhension la confusion dans ses représentations de satisfaction, l’over…

Cependant, ceux qui ont l’air de savoir se raisonner, c'est-à-dire ceux qui sont équilibristes professionnels ou expérimentés ; parviennent majoritairement à ne jamais toucher les deux extrêmes et à suivre le chemin de manière majoritairement droite. On dirait que leur capacité d’équilibriste repose premièrement dans leur essence qui est propre à chaque individu (motivation, sensibilité, exigences, projets…) mais de manière plus générale c'est-à-dire à l’échelle de l’existence, on dirait que c’est une éducation bénéfique amorcée dés le plus jeune âge pour certains ou tout simplement avant les autres pour d’autres. Ces individus non pas plus intelligents à la naissance le deviennent au niveau capacité à se raisonner et avoir une vie équilibrée car ils se sont procuré des habitudes de vie en s’imposant des contraintes, des réflexes (comme se laver les dents)… Cette éducation est dans la plupart des cas « offerte » par les parents mais il arrive tout de même qu’un enfant puisse s’approprier son propre mode d’existence, « sa propre éducation » .


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